Le Ferry : l’idéal pour partir à l’aventure

Le Ferry fait partir des moyens de transport les plus utilisés pour aller en Corse. Pour ceux qui aiment l’aventure, le Ferry leur est fortement conseillé. De Gênes à Porto-Vecchio, les nombreux itinéraires proposés par les compagnies permettent de voyager tout en partant à la découverte de nouveaux horizons.

Économique, mais également pratique, un trajet en Ferry jusqu’à la merveilleuse île française a de nombreux avantages. Le transport de véhicule personnel en est le plus important. De plus, les passagers pourront voyager à bord avec leurs animaux de compagnies.

L’avion : une excellente option

Pour ceux qui ont le mal de mer, l’avion est l’option par excellence. Figari, Calvi, Bastia ou encore Ajaccio, la Corse compte sur son territoire 4 grands aéroports qui accueillent plus d’une dizaine de vols chaque jour. Rapide, le voyage en avion vous permet d’arriver sur la belle île en seulement une heure. Au pire, le trajet se fera en 1 h 30.

Le seul inconvénient est le coût supplémentaire occasionné par le transport une fois sur place. Puisque les aéroports sont situés loin des sites touristiques et des villes, il faudra prévoir d’autres moyens de transport.

Essentiel : à quel moment réserver son billet ?

Pour profiter des frais de transport le moins cher, il faut réserver au bon moment. Assurez-vous que votre réservation se fasse à l’avance, avant la précipitation des vacanciers. L’idéal est de l’effectuer en mars ou en avril. À cette période, la plupart des gens ne pensent pas encore aux vacances et les tarifs sont plus abordables. Par contre, les périodes de vacances sont à éviter. Il s’agit du mois de juin, de juillet, d’août et du mois de septembre. Dès que l’automne prend fin, planifiez un séjour en Corse, car le soleil est au rendez-vous et la plage n’est pas encore surpeuplée.

Priorisez le contenu

En termes de référencement, le contenu est très important. En effet, les moteurs de recherche exploitent chaque page de votre site de camping afin de chercher des indices qui lui permettront de le positionner. Pour cela, il faudra créer des pages avec des contenus pertinents.

Pour que les pages de votre site web de camping soient mieux indexées, vous pouvez, par exemple, créer un blog contenant des articles ayant trait aux vacances. Et pour que le référencement naturel de votre camping soit un succès, il faudra effectuer une mise à jour régulière de votre blog. Vous devrez alors maîtriser les techniques de marketing de contenu afin de vous différencier dans les algorithmes permettant de classer votre site web dans les résultats de recherche appropriés. Vous pouvez également compléter votre contenu par des vidéos que vous partagerez sur les réseaux sociaux.

Si vous ne maîtrisez pas l’ensemble de techniques utilisées pour être le plus visible possible dans les résultats naturels, consultez cette page pour trouver un spécialiste du référencement naturel. Il se charge d’optimiser la visibilité et la notoriété de votre site.

Optimisez les mots clés

En plus de créer un bon contenu de vos articles de blogs, n’oubliez pas d’optimiser les mots clés de recherche de votre camping. Cette stratégie SEO vous permettra d’obtenir un fort volume de recherche. Vous devez donc identifier les mots que tapent souvent les internautes sur Google afin qu’ils puissent trouver un camping de vacances.

Divers outils sont à votre disposition comme Google Keywords Planner, Google Ads, etc. Vous pouvez voir et évaluer le volume de recherche de quelques expressions fréquemment utilisées. Dans tous les cas, étudiez toujours les performances des mots clés que vous insérez dans votre blog et adaptez le contenu en fonction.

Dans le cadre du référencement naturel de votre camping, priorisez les mots clés qui ont un volume de recherche situé entre 300 et 1 000 recherches par mois. Les mots clés qui se situent dans cette moyenne sont moins concurrentiels et peuvent facilement être classés en tête des SERP.

Étudiez toutes les options possibles

L’optimisation du référencement pour le site web de votre camping n’est pas la seule donnée capitale. La raison est qu’il existe de nombreux annuaires de campings et de résidences de vacances en ligne. Des milliers de sites de ce type y sont répertoriés chaque année. Il faut donc mettre toutes les chances de votre côté pour apparaître dans un maximum de résultats. Ainsi, il est recommandé de vous inscrire à des annuaires. Les meilleurs permettent aux internautes de filtrer les campings en fonction des activités, des attractions, des hébergements, etc.

Cette stratégie de référencement naturel favorise l’indexation, notamment à l’aide de liens pertinents qui conduiront l’internaute sur votre site. Si vous utilisez ce type de stratégie SEO, votre contenu sera publié en moins de 48h, ce qui ne fera qu’augmenter vos chances d’être visible et d’augmenter le trafic. De ce fait, le référencement naturel de votre camping sera renforcé et boosté. Pour bénéficier de tous les avantages d’un annuaire, veillez à choisir celui qui soit adapté à votre secteur d’activité.

Il faut de l’anticipation en amont du voyage d’affaires

Le voyage d’affaires peut stresser si les enjeux sont trop importants. Parfois, il est nécessaire de revoir les ambitions à la baisse. Si les chances d’obtenir des retombées commerciales sont moindres, autant ne pas organiser le déplacement. Il faudra aussi se dire que l’échec fait partie des possibilités. D’ailleurs, le contrôle reste une illusion. En réalité, la décision définitive dépend plus du client que du vendeur. Ce dernier a tout de même intérêt à bien préparer sa prestation. Son discours d’exposition doit être parfaitement rodé sans donner l’impression d’assister à une récitation. Il devrait apprendre à évaluer les probabilités de conclure. Si elles demeurent faibles, il ne sert à rien de déployer de coûteux moyens logistiques. Au pire, la manœuvre va juste torturer l’esprit de la force de vente. Quoi qu’il en soit, les détails administratifs et techniques concernant le déplacement d’affaires sont à mettre au point des semaines avant l’embarquement.

Pendant le séjour, une bonne organisation devient salutaire

Le jour de départ, il vaut mieux programmer un embarquement en soirée. Comme cela, vous arrivez à destination au matin. Le décalage horaire aura moins d’impacts sur votre organisme. Par ailleurs, vous disposez d’une journée de travail entière tout en économisant une nuitée à l’hôtel. Il faudra tout de même penser à bien dormir pendant le vol ou le trajet en train. Les téléphones portables et autres ordinateurs devraient être suffisamment chargés pendant le séjour. Ces moyens technologiques ont intérêt à être fonctionnels et prêts à servir à tout moment. En ce qui concerne l’emploi du temps, il est nécessaire de s’accorder des instants pour soi. Être obnubilé par la mission ne constitue pas la meilleure attitude à avoir. Il faut aussi du recul, quitte à se libérer quelques heures pour visiter la ville ou assister aux événements culturels et commerciaux locaux.

D’autres astuces pour ne pas être en proie au stress

Les chefs d’entreprise les plus efficaces ont compris qu’il faut maintenir un certain rythme pour rentabiliser les déplacements d’affaires. Ils font aussi l’effort de bien récupérer en s’accordant de bonnes heures de sommeil. En ce qui concerne l’alimentation, les produits naturels et frais sont à privilégier pendant les périodes de fortes sollicitations. L’apport en nutriments tels que les vitamines B et C devient crucial pour lutter contre le stress oxydatif. Puis, le zinc, le magnésium ainsi que le calcium permettent aussi de rester au top de votre forme. Enfin, les petites habitudes qui aident à calmer les nerfs sont à maintenir pendant le voyage d’affaires. Certains prient, d’autres méditent. Il y a également ceux qui font du sport ou décompressent dans les boîtes de nuit. C’est à chacun de trouver ce qu’il lui faut. Toutefois, un stage auprès d’un coach en développement personnel proposé sur le site https://stress.app/blog/fr/ serait aussi le bienvenu pour tout le monde.

Préparer le voyage en avance

Le meilleur moyen pour éviter une grande foule de touristes pendant un voyage est de bien préparer celui-ci en avance. Le premier geste à faire est d’acheter tous les billets en ligne, que ce soit le billet pour le transport choisi, ou pour les différentes activités à faire sur place. De plus, internet est là pour faciliter la tâche et cela évitera de faire la queue pendant des heures.
Les touristes sont les plus nombreux pendant les saisons d’été et d’hiver, car la plupart des gens sont en vacances pendant ces périodes-là. Pour éviter de se retrouver entouré de touristes, il serait plus astucieux de partir hors saison. Pour connaitre le moment idéal du départ, il est conseillé de prendre un maximum de renseignements.

Bien planifier les activités sur place

Une fois arrivé à destination, il est maintenant temps de bien organiser les sorties et les activités à faire. Si les sites touristiques à l’endroit où vous vous trouvez sont très populaires, il est conseillé de les éviter. Les visites à faire doivent commencer par des endroits moins attrayants.
Pour visiter les principaux sites touristiques et profiter d’un calme sans beaucoup de touristes, il est préférable de le faire en semaine et tôt dans la matinée. En général, les touristes préfèrent sortir le week-end et assez tard dans la journée.

L’équipement

Équipez-vous correctement. Le choix du vélo doit se faire en fonction de son usage. Un vélo qui vous a servi pour découvrir les Pays-Bas ne sera certainement pas adapté pour faire le tour du monde. Il existe désormais tout un panel de modèle de vélo sur le marché. Mais, on vous conseille de privilégier la simplicité, le confort et la solidité pendant votre choix. Misez également sur celui qui dispose d’un porte-bagages et d’un garde-boue. Le vélo tout terrain (VTT) et le vélo tout chemin (VTC) sont les modèles les plus prisés par les touristes. Aussi, vous devez vous équiper d’un éclairage avant et arrière, d’un casque, de lunettes pour cycliste, d’un antivol, d’outils de réparation (en cas de crevaison) et de quelques pièces de rechange (en cas de panne).

L’itinéraire

Choisissez votre itinéraire selon votre niveau en matière de cyclisme. Si vous êtes un débutant, prévoyez une route de 50 km par jour tout au plus. Prévoyez également un itinéraire qui vous permet de prendre 1 ou 2 jours de récupération. Après tout, la progression de votre voyage dépendra de vos objectifs (nombres de lieux à visiter…), des dénivelées, de l’état des routes et des imprévus. Pour ne pas se tromper de chemin, munissez-vous de cartes routières. Éventuellement, vous pourrez télécharger quelques applications mobiles qui sont dédiées aux cyclistes. En outre, informez-vous sur les pistes cyclables avant de choisir votre destination. Dans certaines régions du monde, ils sont quasiment inexistants.

La santé et la sécurité

Avant de prendre la route, assurez-vous de votre état de santé. Il est important que vous soyez en bonne forme physique. Avant votre départ, prévoyez aussi quelques trajets où vous pourrez vous entraîner. Vous serez ainsi mieux préparé aux efforts physiques et serez plus à l’abri des irritations et des courbatures. Il est aussi indispensable que vous ayez tout ce qu’il vous faut dans votre sacoche de voyage : vêtements adaptés au cyclisme et au climat de votre itinéraire, crème solaire et trousse à pharmacie. Pour votre sécurité, souscrivez à une assurance voyage (ou assurance internationale) et à une assurance vélo.

Les formalités nécessaires pour voyager au Sultanat d’Oman

Depuis le mois de mars 2018, la demande de visas pour voyager à Oman s’effectue exclusivement en ligne. Pour entrer dans le pays, le passeport doit être valable jusqu’à 6 mois après le jour de retour. À noter que vous pouvez aussi entrer au Sultanat d’Oman avec un visa valable pour Dubaï et réciproquement, mais cela à condition que vous réussissiez à passer la frontière à Wadi Hattat. Par ailleurs, un visa pour entrer au Qatar permet également d’aller à Oman sans procédures complémentaires. Il faut aussi savoir que les passagers qui voyagent en bateaux et qui font une escale pour moins de 48 heures à Oman n’ont pas besoin d’avoir un visa. Par contre, s’ils prévoient d’effectuer plusieurs escales sur le territoire, ils doivent disposer d’un visa à entrée multiple qui coûte environ 10 euros. Si la demande de visa pour voyager au Sultanat d’Oman vous semble compliquée, vous pouvez vous adresser à Action-Visas.com pour s’occuper de la procédure.

Les différents types de visas pour rejoindre Oman

Si vous désirez organiser un séjour à Oman, sachez que vous pouvez choisir entre 3 catégories de visas, dont le visa de 10 jours ou moins, le visa de 10 jours à 30 jours pour une entrée simple et le visa pour plus de 30 jours pour des entrées multiples. Donc, vous pouvez choisir le type de visa qui vous convient selon vos programmes durant le séjour. Notons que si vous prévoyez de voyager avec un enfant, quel que soit son âge, il doit toujours posséder un passeport individuel. S’il ne voyage pas avec l’un de ses deux parents, il doit détenir une autorisation de sortie du territoire signée par les détenteurs de l’autorité parentale avec une photocopie du titre d’identité des signataires.

Des formalités auxquelles se soumettre

Que vous faut-il donc ? Un passeport naturellement, en cours de validité et valable 6 mois après votre date de retour. Cela est valable, que vous soyez Français, Belge ou Suisse. Veillez également à ce que votre passeport comporte au moins 2 ou 3 pages vierges pour que les autorités y apposent les cachets d’entrée et de sortie. Une note concernant le passeport français : seuls ceux lisibles en machine biométrique, électronique et optique et délivrés après le 24 novembre 2005 qui sont acceptés. Si, pour une raison ou une autre, c’est d’un passeport d’urgence dont vous disposez, informez-vous auprès des services diplomatiques du Malawi sous quelles conditions vous pouvez l’utiliser et s’il vous permet de franchir les frontières du pays.

Voyage avec enfants

Vous avez le droit de passer un séjour avec vos enfants au Malawi, pas de problème à ce sujet. Cependant, il y a eu changement au niveau des passeports, c’est-à-dire que, désormais, même mineurs, vos enfants doivent posséder leur propre passeport. De plus, s’ils ne voyagent avec vous, seul(e) ou avec leurs deux parents, ils doivent se munir d’une autorisation de sortie du territoire. Depuis le 15 janvier 2017, ce document est devenu obligatoire et doit être signé par l’un des parents titulaires de l’autorité parentale. Une photocopie du titre d’identité du parent signataire est également requis. Une autre information que vous devez détenir également, c’est le fait que si votre transporteur fait une escale en Afrique du Sud ou si le vol prévoit un transit par ce pays, il est possible que l’on vous demande de vous plier aux formalités d’entrée des mineurs sur le sol sud-africain. D’ailleurs, il y a des compagnies aériennes qui exigent des documents prouvant les liens de filiation entre un mineur et la ou les personne(s) voyageant avec lui.

D’autres précisions utiles

Le visa est obligatoire pour tout ressortissant français. Le visa de transit, pour 7 jours, coûte 7 US$, pour une entrée. Le visa pour une entrée, pour 30 jours coûte 75 US$ tandis que le visa à entrées multiples, pour 6 mois vous coûte 150 US$. Si vous pensez louer une voiture sur place, il est préférable de prendre un permis international ou, tout au moins, une traduction assermentée de votre propre permis français, cela pour éviter tout désagrément. Il est conseillé de se faire vacciner contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, la poliomyélite, les hépatites A et B, et pour les enfants, contre la rougeole, et peut-être aussi contre la typhoïde et la rage, mais c’est en fonction des activités et de l’hébergement que vous choisissez à destination.

Quelle est la nature de votre billet ?

La première chose à faire est de bien lire les conditions de voyage avant de passer aux démarches d’annulation. Commencez dans ce cas, par vérifier la nature du billet acheté. Vous y trouverez le délai d’annulation qui vous est accordé, étant donné que les agences de voyages vous donnent toujours une marge pour annuler votre voyage en cas de désistement. Ceci étant, sachez qu’il existe différents types de billets comme les billets rectifiables, dont on peut modifier la date et l’heure de vol, les billets encaissables et enfin, les billets non remboursables. Ce dernier type de billet est souvent celui le moins cher sur le marché. Il vous permet de faire des économies sur votre place, mais malheureusement en cas d’incident, vous n’allez pouvoir ni vous faire rembourser ni échanger votre billet. Pour ce qui est des taxes, pour n’importe quel billet, elles sont peuvent être indemnisées par la compagnie aérienne ou l’agence de voyages.

Possibilité d’invalider le billet d’avion grâce à l’assurance « annulation »

Avant de voyager, il est toujours prudent d’opter pour une assurance. En effet, le voyageur aura l’assurance de bénéficier d’une couverture maximale avant, pendant, mais aussi après son voyage. De ce fait, l’assurance « annulation » est en quelque sorte une façon de se garantir un remboursement, qu’importe le problème que vous allez rencontrer. Elle accorde de ce fait, une entière indemnisation, sous condition que le motif de l’annulation soit justifié et validé. Les motifs acceptés peuvent dans ce cas, être les suivants : refus de visa, perte de pièces d’identité, maladie ou accident, décès d’un proche, congédiement ou affectation, etc. En revanche, sachez aussi que si vous effectuez votre paiement via une carte bancaire «Gold » ou « Platinum », ou encore « Premium », toute assurance est aussitôt comprise.

En cas de faute de la part de la compagnie aérienne

Bien qu’une annulation soit volontaire dans la plupart des cas, il est possible que ce soit la compagnie aérienne qui abroge le vol. Cette annulation est due notamment, à des problèmes techniques ou des conditions météorologiques. Dans ce cas, chacun des voyageurs bénéficiera d’un remboursement pour cause de préjudice. On dit que le vol est annulé lorsque l’horaire convenu est retardé ou avancé. D’après la législation européenne, après une annulation de vol, les passagers aériens sont obligatoirement indemnisés par la compagnie aérienne. L’indemnisation se fera par rapport à la distance du voyage. En outre, la compagnie doit aussi proposer aux voyageurs un vol alternatif, à un remboursement du billet vers une autre destination ou encore d’assurer la prise en charge dans le cas où le vol est reporté au lendemain ou un autre jour.

Qu’est-ce que le mal de mer ?

Le mal de mer est comme le mal de transport, certaines personnes en souffrir sans savoir pourquoi. Il s’agit d’une pathologie que l’on ressent lorsqu’on est sur le bateau sur mer. Les symptômes peuvent être différents d’une personne à une autre. Le plus souvent, le mal de mer se traduit par des vomissements, de vertiges, des pertes de connaissances, etc. Le mal de mer peut aussi entraîner le refus de consommer de la nourriture et de s’hydrater. Ce trouble est aussi appelé naupathie. Comme toute cinétose ou mal de transport, le mal de mer est capable de rendre malade le passager à bord d’un bateau. Qu’est-ce qui cause cette pathologie ? Le dysfonctionnement de l’oreille interne se trouve à l’origine de ce trouble, il est causé par le mouvement de l’eau que l’on peut ressentir au niveau de l’oreille interne (là où se trouve notre centre d’équilibre).
Par la suite, les informations envoyées au cerveau sont faussées : la synchronisation qui devrait exister entre les différentes parties de notre corps n’est plus au rendez-vous. Le déséquilibre du cerveau est si important que le corps ne peut que subir les conséquences : le mal de mer avec tous ses symptômes. Cette pathologie peut toucher tout le monde et certains individus peuvent en souffrir lors d’une croisière et ne pas en souffrir la prochaine fois. Les femmes, les enfants en dessous de 12 ans et les personnes âgées sont les plus atteints. Le plus souvent, on en souffre lorsque c’est la première fois qu’on embarque sur un bateau. Mais notre mémoire peut aussi nous jouer des tours et rappellent à notre corps des informations qui favorisent le mal de mer.

Astuces et conseils contre le mal de mer

Les traitements les plus utilisés et les plus efficaces sont les médicaments. Vous en trouverez en pharmacie, vous pouvez en acheter sans ordonnance. Mais parfois, vous devez consulter un médecin pour qu’il vous prescrive le médicament adapté. Parmi les médicaments contre le mal de mer, on retrouve les suivants : antihistaminiques, antiémétiques, patch (pour un adulte, à appliquer derrière l’oreille des heures avant le départ), etc. Certaines médecines douces permettent de combattre le mal de mer notamment l’homéopathie (parfaite pour les enfants et les femmes enceintes ou allaitantes) et la phytothérapie (utiliser des huiles essentielles). Le spécialiste en ORL peut aussi recourir à la rééducation optocinétique : celle-ci consiste à simuler le mal de mer au patient pour l’y habituer. Cela peut être efficace pour éviter le mal de mer à condition de suivre plusieurs séances (durée de 30 minutes) quelques semaines ou quelques mois avant le départ.
Voici d’autres astuces efficaces pour éviter le mal de mer :
• Eviter d’avoir froid en se couvrant bien
• Manger et s’hydrater suffisamment
• Garder son calme et respirer profondément
• Bouger et sortir de sa cabine pour se promener à l’extérieur
• Ne pas embarquer l’on se sent trop fatigué
• Essayer de bien dormir, etc.
Essayez de suivre les conseils des personnels du bateau, fiez-vous à eux car ils en connaissent plus que quiconque dans ce domaine. D’ailleurs, la plupart d’entre eux sont passés par là et certains souffrent encore de mal de mer même s’ils sont habitués à embarquer sur des bateaux.

2 types de souscription possibles

Les conditions d’annulation ou de résiliation de contrat de voyage diffèrent selon le mode de souscription. En effet, il y a la souscription via une agence physique ou par téléphone et la souscription en ligne. Les conditions de résiliation sont différentes pour les 2 types de souscription. Néanmoins, la loi Hamon est le point commun entre ces 2 types de souscriptions concernant la renonciation ou l’annulation.

Dans le cas d’une souscription en agence physique ou par téléphone

Si vous avez fait une souscription d’assurance voyage en agence ou par téléphone, vous trouverez dans votre contrat d’assurance des clauses d’annulation ou de résiliation. Vous avez le droit de renoncer au contrat au plus tard 14 jours après sa conclusion si vous bénéficiez déjà d’une même garantie de couverture que celle de l’assurance et les conditions suivantes sont respectées :

• le contrat a été souscrit à des fins professionnelles
• vous avez obtenu le contrat en complément d’un achat de service ou d’un bien
• vous êtes déjà couvert par une autre assurance pour les garanties qu’il propose
• le contrat n’a pas été exécuté dans son intégralité
• vous n’avez pas encore déclaré un sinistre garanti par le contrat
  Si ces conditions sont respectées, vous pouvez faire une demande de résiliation ou d’annulation en envoyant une lettre recommandée avec accusé de réception. L’assurance devra procéder au remboursement dans les 30 jours suivant la demande. Ce droit de renonciation est régi par la loi Hamon. Le droit de renonciation vous permet de mettre fin à votre contrat d’assurance sans être tenu de payer des pénalités. Si vous désirez faire l’annulation à moins de 30 jours de votre départ en voyage, le droit de renonciation n’est plus valable.

Dans le cas d’une souscription en ligne

Si votre assurance a été souscrite en ligne, vous avez également un droit de renonciation d’un délai de 14 jours. Pour une assurance voyage ayant été souscrite pour un séjour de moins de 1mois, vous pouvez faire la résiliation sans avoir à vous justifier. Par contre, pour un séjour de 1 mois et plus, vous le droit de renonciation n’est pas valable. Comme pour la souscription en agence, si votre départ est dans moins de 30 jours, vous ne bénéficierez plus du droit de renonciation.

La loi Hamon

Grâce à la loi Hamon, les agences de voyages et les assureurs sont tenus de vérifier si vous êtes déjà couvert par une autre assurance avec les mêmes garanties proposées. Cela peut être l’assurance de votre carte bancaire, l’extension de votre assurance habitation ou de votre assurance auto. Cette précaution permet d’éviter de prendre une assurance multirisque en plus. De votre côté, vous êtes invité à relire vos contrats d’assurance habitation et assurance auto pour être plus au courant de la garantie qui vous manque pour votre assurance voyage.